Gabriel Gélinas

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Mon nom est Gabriel Gélinas, j’ai 26 ans et je suis étudiant à l’UQÀM depuis 2009. J’ai complété avec succès un baccalauréat en philosophie et je suis en voie de compléter une maîtrise en philosophie à la fin de la session d’automne 2016. Je m’apprête à débuter un doctorat en philosophie à l’UQÀM à partir de l’hiver 2017. Je suis également récipiendaire d’une bourse d’excellence de la faculté des sciences humaines obtenue en 2015-2016 ainsi que d’une bourse décernée par le Groupe de Recherche Interuniversitaire sur la Normativité pour l’année 2016-2017. J’ai aussi occupé des postes d’assistant d’enseignement dans trois cours de baccalauréat depuis 2014. Ces cours sont PHI4050 Éthique des relations internationales (Automne 2014), PHI3525 Éthique fondamentale (Hiver 2015) et PHI3516 Problèmes d’éthique (Hiver 2016).

Mes principaux champs d’intérêt sont en éthique et en philosophie de l’action, avec des intérêts secondaires en logique, en philosophie de l’esprit, en épistémologie et en philosophie politique. Mes intérêts de recherche consistent principalement à analyser, critiquer et modifier des théories contemporaines sur des sujets relatifs à mon champ d’étude, et à développer de nouvelles théories à la fois fonctionnelles et plausibles. Ceci s’inscrit dans un effort plus général de mieux comprendre l’esprit humain et la nature humaine, ainsi que la manière dont les êtres humains peuvent le mieux coexister ensemble, autant au niveau social qu’au niveau international.

Mon mémoire de maîtrise est une analyse et une défense de l’approche évaluative en théorie de l’action. Dans ce travail, j’ai défendu l’idée selon laquelle chacune de nos actions intentionnelles est motivée par un jugement de valeur, une certaine compréhension de ce qu’il est bien de faire. Dans un premier temps, je présente deux versions de l’approche évaluative développées par Joseph Raz et Sergio Tenenbaum. Puis, je présente des objections développées par Michael Stocker, David Velleman et Kieran Setiya, ainsi que les réponses à ces objections. Finalement, je défends une version de l’approche évaluative tout en faisant une synthèse du débat.