Matthieu Loubier

J’ai débuté mes études en philosophie au baccalauréat à l’Université du Québec à Montréal après de brefs passages en psychologie et en science des religions. Je n’ai toutefois pas terminé le baccalauréat à Montréal, mais plutôt à l’Université Laval où j’ai complété la seconde moitié du baccalauréat et obtenu mon diplôme. J’étudie maintenant à la maîtrise en philosophie sous la direction de Catherine Rioux à l’Université Laval et mes recherches portent sur le phénomène de l’acrasie inverse décrit par Nomy Arpaly & Tim Shroeder. Je me suis dirigé vers ce sujet en raison de mes intérêts marqués envers l’éthique, les questions portant sur la motivation et l’intentionnalité ainsi que les théories sur la rationalité et les émotions. Mes recherches se trouvent donc au croisement de la philosophie de l’action et de la psychologie morale. Je souligne également mon intérêt grandissant pour l’éthique appliquée et l’éthique organisationnelle, même si ces intérêts sont absents de mes recherches principales. Mon parcours universitaire inclut également des projets supervisés par certains professeurs de la faculté de philosophie. Je travaille actuellement sur un texte à paraitre au PUL (Presses Université Laval) dans un recueil dirigé par Marie-Hélène Parizeau au sujet des villes intelligentes et de l’intelligence artificielle. Ma contribution porte sur l’usage du mensonge en politique et de la collecte de donnée dans un contexte démocratique. Je travaille également comme auxiliaire de recherche pour un projet sur la notion d’acceptabilité sociale dirigé par Jérôme Gosselin-Tapp et j’appuie Catherine Rioux et Arturs Logins dans l’organisation du premier colloque annuel «Everything Agency».